La question se pose même si l’existence d’un projet d’établissement est une obligation réglementaire.
Comme toujours quand on parle de projet, il faut distinguer l’objet écrit de l’idée. Un projet, c’est d’abord une idée, collective dans le cas d’un projet d’établissement.
Ensuite c’est un écrit, qui retranscrit cette idée dans un document, en en donnant une représentation matérielle partageable.
Dans un troisième temps, ce sont les actes de tous les jours qui se réfèrent à l’idée de départ et lui donnent une respiration et une âme.
Donc avant d’écrire, il faut le penser. Cette pensée est une construction collective
Toutes les équipes, toutes les strates hiérarchiques, tous les corps de métier, tout le monde est concerné, sans oublier les personnes accueillies ou accompagnées, les familles et les partenaires.
Bien sûr, tout le monde n’est pas là. Il faut faire « tourner la boutique », les résidants ont parfois besoin d’autres modes de participation et se sentiraient perdus dans une grande assemblée. En protection de l’enfance, la participation des jeunes doit être organisée avec soin, prenant en compte la spécificité de chaque situation.
La construction d’une pensée collective s’élabore dans un cadre bienveillant et ludique.
Poser le cadre est une des toutes premières étapes et permet de faire baisser les freins et les réticences qui pourraient limiter l’accès de chacun·e à l’expression et à la créativité.
Faire le choix de méthodes simples et attrayantes, qui facilitent les échanges, est essentiel.
Imaginer ensemble un blason qui nous représente son équipe, c’est échanger en profondeur sur ce qui est important pour chacun. C’est avoir, devant les collègues, une parole sur son engagement et son sens.
Le travail quotidien laisse rarement de la place pour ces moments-là. Profitons-en, c’est une des intentions de cette journée de lancement.
La question se pose même si l’existence d’un projet d’établissement est une obligation réglementaire.
Comme toujours quand on parle de projet, il faut distinguer l’objet écrit de l’idée. Un projet, c’est d’abord une idée, collective dans le cas d’un projet d’établissement.
Ensuite c’est un écrit, qui retranscrit cette idée dans un document, en en donnant une représentation matérielle partageable.
Dans un troisième temps, ce sont les actes de tous les jours qui se réfèrent à l’idée de départ et lui donnent une respiration et une âme.
Donc avant d’écrire, il faut le penser. Cette pensée est une construction collective
La construction d’une pensée collective s’élabore dans un cadre bienveillant et ludique.
Poser le cadre est une des toutes premières étapes et permet de faire baisser les freins et les réticences qui pourraient limiter l’accès de chacun·e à l’expression et à la créativité.
Faire le choix de méthodes simples et attrayantes, qui facilitent les échanges, est essentiel.
Réaliser un collage ensemble, expression artistique ou délire collectif ? C’est d’abord un vécu commun, qui va une fois de plus permettre aux membres des équipes de choisir ensemble la couleur de leur avenir.